Or, la différence entre nous et le Christ, c’est que la foi faisait partie intégrante de Son être. Il n’était pas obligé d’avoir la foi. Il était la foi. Maintenant, nous devons l’avoir. Nous devons croire en nous-mêmes.
Je peux vous citer de nombreux incidents, que vous pouvez me raconter, de nombreux incidents où la foi seule a aidé. Si vous étiez en Roumanie, je crois que c’est arrivé, une dame est montée sur scène. Elle ne pouvait pas marcher. Ils ont dû l’amener sur un fauteuil roulant et elle a dit : « Mère, je sais que vous pouvez me guérir. Personne ne peut me guérir. Je sais que vous pouvez me guérir. » Elle l’a dit trois fois. J’ai dit : « Alors, vous croyez que je vais vous guérir. » « Oui. » J’ai dit : « Alors, levez-vous. » Elle s’est simplement levée, est partie. Puis elle s’est mise à courir tout le long du chemin et tout le monde s’est mis à rire. Ils ont dit : « Mère, elle n’est pas une Sahaja Yogini. » J’ai dit : « Voyez sa foi. » Parce que lorsqu’il y a la foi, toutes les déités la prennent en charge. Elles sont mises au défi. Elles doivent le faire. Ils ont montré leur foi en cette personne. Comme je vous l’ai toujours dit, dans Sahaja Yoga nous faisons confiance aux gens. Nous leur faisons confiance. Une personne sur cent peut nous tromper. Peu importe. Nous leur faisons confiance. Cette foi que vous mettez en cette personne fonctionne aussi dans son esprit, car ils ont mis tant de foi en moi. Mais qu’en est-il des déités ? Vous leur montrez votre foi, elles fonctionnent. Elles fonctionnent immédiatement. Comme Guido me l’a dit : « Mère, ils ont dit qu’il y aurait de fortes pluies ces deux jours-ci. » J’ai dit : « Très bien. Ne vous inquiétez pas. » Où est la pluie ? Elle a disparu. Vous pouvez tout contrôler si votre foi est sous contrôle. Et lorsque nous parlons de foi, vous savez, c’est le défi lancé à ce pouvoir omniprésent qui organise, qui sait tout, qui est si intelligent, si efficace. Par-dessus tout, il vous aime. Et alors vous montrez votre foi.
La résurrection dans Sahaja Yoga, c’est que votre foi est solide. C’est ce que vous devez atteindre. Une foi solide. Ils ne se sentent pas mal alors. Supposons que je ne les rencontre pas. Supposons que je puisse dire : « D’accord, cette fois-ci, je ne serai peut-être pas avec eux. Peu importe, voyez-vous, que Mère nous rencontre ou non, que cette chose se produise ou non. Tout est pour notre bien, pour notre bienveillance. Supposons que vous vous perdiez en chemin, sachez qu’il doit en être ainsi.